Le 25 mars, c’est la Journée Mondiale de la Procrastination. À Saint-Étienne, on en profite pour réfléchir à ce besoin de repousser les choses… et pourquoi pas, de l’accepter un peu !
Répondre à cet e-mail urgent ? Demain. Ranger le garage ? La semaine prochaine. Commencer ce projet de rénovation ? Ce mois-ci. Si ces petites choses vous parlent, c’est que vous êtes sans doute un procrastinateur. Un phénomène bien répandu, comme l'ont montré les Stéphanois interrogés les rues. Entre les devoirs, le ménage ou même le travaille, la procrastination prend différentes formes, surtout quand on se sent submergé par les tâches.
La procrastination, c’est cette tendance à remettre à demain ce qui pourrait être fait aujourd’hui. Ce phénomène, souvent associé à de la paresse, peut aussi être une forme de résistance face à la pression de notre quotidien, surtout dans une société où l’urgence semble toujours prendre le dessus. D’ailleurs, une psychologue, Camille Faverjon, nous en dit plus sur ce phénomène encore peu connu.