L’association dénonce des actes de cruauté, sévices graves et mauvais traitements infligés aux animaux, notamment des moutons découpés encore vivants.
Dans un communiqué, la préfecture la Loire fait part de sa préoccupation face aux images révélées et à la plainte déposée pour cruauté envers les animaux. Ils annoncent se tenir à disposition des autorités compétentes pour contribuer à toute enquête judiciaire.
En parallèle, une enquête administrative sera lancée dans les prochains jours. Elle pourrait aboutir à des sanctions complémentaires, selon les éléments relevés.
L’abattoir de Charlieu, de nature intercommunale, est déjà dans le viseur de plusieurs associations de défense animale. L’État rappelle son engagement constant pour le bien-être animal et promet un suivi rigoureux de cette affaire.