Les chiffres sont préoccupants : en 2024, 23 % des enfants disent avoir été confrontés au cyberharcèlement (contre 18 % en 2023). Chez les lycéens, ce taux grimpe à près de 30 %. Les conséquences sont lourdes : plus de la moitié des victimes déclarent avoir perdu confiance en elles et près d’un tiers affirment avoir eu des pensées suicidaires.
Ce que dit la campagne
« Ce n’est qu’un message » . C'est faux. En réalité, le cyberharcèlement blesse, isole, détruit. "Les mots aussi peuvent tuer".
Ce qu'il faut savoir
- Le cyberharcèlement est un délit.
- En cas de cyberharcèlement, victimes ou témoins peuvent appeler le 3018, numéro national d’aide et d’écoute.
❌ « Ce n’est qu’un message » ❌
— Préfète de la Loire (@Prefecture42) September 1, 2025
En réalité, le cyberharcèlement blesse, isole, détruit.
📱 Les mots aussi peuvent tuer.
⚖️ Le cyberharcèlement est un délit.
📞 Victime ou témoin ? Appelez le 3018.@Interieur_Gouv @education_gouv @PoliceNat42 @Gendarmerie_042 pic.twitter.com/IxS5TFbUX9
C. Ercilla







